lundi 12 décembre 2011

Anne ... La maison aux pignons verts .de Lucy Maud Montgomery

 

4ème de couverture :

 
Voici le plus grand classique canadien-anglais de tous les temps, vendu à plus de 60 millions d’exemplaires , traduit en 40 langues et adapté plusieurs fois pour le cinéma et la télévision. L’histoire de cette petite orpheline de l’Île-du-Prince-Édouard a véritablement envoûté les jeunes et les moins jeunes!
 
Sur le quai de la gare, Marilla et Matthew attendant l’orphelin qui les aidera sur leur ferme. C’est une rouquine aux yeux pétillants qui se présente … Jouir de la magie des mots, rire de ses propre défauts, s’émerveiller face à la nature, découvrir un coin de pays pittoresque, voilà ce qui nous attend dans ce roman inoubliable.
 

Mon avis :

 
Le quotidien de cette petite orpheline de ces onze jusqu’a seize ans, au début du 20ème siècle.
 
On découvre dans ce livre, cette petite Anne qui est extrêmement attachante. Au début du livre elle est impulsive, quitte à le regretté amèrement et d’une fierté a toute épreuve et tenace en plus. Ces joie, comme ces peines sont démesurées, sont imagination sans limite !! Ce qui nous donne tous au long de ce livre, des péripéties a ce tordre de rire, a s’émerveiller, ou a être peiné, devant ce que Anne vie, voie ou subit. Puis au file des pages elle grandi et découvre de nouvel chose apprend a ce contrôlé et a pardonné.
 
 
 Ce livre est le premier d’une série de livre 10 livres.
 
C’est un vrai coup de cœur pour moi, un livre que je relirai probablement pour ne pas oublier que l’imagination et la joie de vivre c’est important !
 
Un passage du livre :
 
"C’était horriblement méchant de ma part que de me mettre en colère parce que vous m’aviez dit la vérité. C’était la vérité ; chacun de vos mots était vrai. Mes cheveux sont roux, je suis couverte de taches de rousseur, je suis maigre, je suis horrible. Ce que je vous ai dit était, bien sur, mais je n’aurais pas dû le dire. Oh Mme Lynde, par pitié, pardonnez-moi ! Si vous refusez, j’en éprouverai un chagrin fatal qui me harcèlera reste de mes jours."


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